Tout métier à responsabilité lié à la communication et aux réseaux sociaux nécessite un savoir-faire en matière de rédaction de rapport Social Media. Tour d’horizon sur les techniques de réalisation d’un bon reporting.
Définir la présentation et le contenu du rapport en fonction de son lecteur
Le reporting devra inclure les points essentiels concernant la notoriété de la marque ou du produit à promouvoir sur le web. Ce document peut passer sous les regards du PDG de l’entreprise, des responsables marketing ou encore des techniciens social media. Il faudra alors déterminer le volume, les rubriques et les données à y insérer selon le lectorat.
Choisir le type de document à produire
Ici, il faut voir s’il s’agira d’un document de travail ou plutôt d’un document de communication. Se décider entre des tableaux de rapports et un rapport écrit. Rassembler et synthétiser les données dans un seul fichier sinon, les séparer selon leur utilisation.
Remplir un cahier des charges
Vu la fréquence d’élaboration des rapports ainsi que les différentes formes qu’ils peuvent prendre, il serait judicieux de rédiger un cahier des charges. Celui-ci doit contenir :
• les KPIs utilisés par les entreprises pour analyser la valeur de leur produit et leur performance
• les types de données à privilégier
• un aperçu des insights consommateurs
Exploiter les règles marketing pour créer les rubriques
Dans la création des rubriques, il est possible de structurer le reporting à l’aide des phases du tunnel marketing. Autrement, vous pouvez vous baser sur le POEM (Paid Media, Owned Media et Earned Media) qui comprend une synthèse des insights. Ou encore utiliser les requêtes ou les résultats de Google sur votre produit.
Sélectionner des indicateurs de performance pertinents
Étant donné le nombre incalculable de KPIs, une véritable sélection s’impose. De préférence, prenez les indicateurs qui présentent le plus d’intérêt pour les lecteurs du rapport. En outre, pensez à les trier suivant le type de reporting à faire.